Strider – Il tue tout le monde et ne pose pas de questions

TEST – Nous sommes dans un petit village japonais, sur une île isolée où les ninjas sont enseignés. Le jeune européen est le meilleur d’entre eux, mais il ne peut toujours pas prévenir son maître bien-aimé et son tout son afin d’être massacrés par l’armée étrangère totalement inconnu. Notre héros jure de se venger et commence la mission solitaire pour débarrasser des forces du mal. Histoire connue? Cool. Alors vous pouvez oublier tout cela. En Strider nous n’avons pas une vraie histoire puisque c’est le jeu se concentre sur le carnage et il n’y a pas d’histoire du tout.

 

Le début de Strider ne pouvait pas être plus simple. Le guerrier ninja toute en bleu, dont le visage est caché par un bandana rouge arrive volant avec un planeur avant de commencer immédiatement à sauvagement tuer les soldats robot qui ne se méfient de rien.

In medias res

A cause de la parfaite maîtrise du jeu, les mouvements rapides comme des éclairs de Strider et l’absence de ces choses “inutiles” telle que l’introduction, une histoire cohérente ou des dialogues quelconques nous nous trouvons immédiatement dans le milieu de l’action. Heureusement le contrôleur de PS4 est tout simplement parfait pour ce platformer traditionnel en 2D (ou semi-3D) dans lequel le l’atmosphère « one man army » est vraiment distincte tout au long du jeu.

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Mais c’est les armes et possibilités additionnelles qui donnent la vraie force à Strider. Bien sûr, au début, nous avons seulement un seul katana, mais au fur et á mesure que nous devenons plus puissant, nous acquérons de plus en plus de jouets mortelles et on apprend de plus en plus de techniques spéciales. On apprend á refléter les balles, ou lancer des couteaux avec des éclairs réflexes rapides ensuite le pouvoir de l‘invocation du faucon d’énergie pure – et ce ne sont que quelques-unes des capacités fantastiques de Strider.

Bien que Strider est “seulement” un platformer 2D hack’n’slash, grâce aux armes et upgrades perpétuelles qui servent à vaincre les ennemies les plus dangereux le jeu exige presque une affinité stratégique. Il n’est jamais évident quel genre d’adversaire nécessite quel type d’arme, style de combat ou technique spéciale.

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Oubliez le mode facile

Strider est certes un jeu difficile. Nous devons prendre soin au rythme de l’action, faire des sauts précis et utiliser les capacités propres autant que possible. En outre si nous mourons, nous sommes de retour aux points de contrôle qui peuvent être très loin ce qui est parfois si exaspérant, que je sentais presque l’envie de jeter le contrôleur DS4 à mon télé HD, le problème c’est qu’ils coûtent une fortune tous les deux.

Les combats contre les ennemies boss sont sans pitié aussi, nous devons prendre part dans des vrais combats hardcore, qui peuvent être longue aussi et si nous mourons, nous sommes de retour au début de la confrontation. Strider était un jeu très dur dans l’ère du Commodore Amiga et Atari ST, et l’équipe de développeur qui contenaient des japonais n’a pas changé d’un iota du difficulté.

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Pas de graphismes extraordinaires

Malgré le fait que Strider elle-même est pleine de surprises, nous ne pouvons dire la même chose des environnements, qui sont assez répétitifs. Nous sommes toujours en train courir dans un grand bâtiment industriel qui est en fait un immense complexe, de sorte que nous voyons les mêmes choses tout au long du jeu. Certes notre écharpe rouge, bleu costume de ninja est plus apparente de l’arrière-plan et l’action ne stoppera jamais, parce que nous n’arrêterons pas d’admirer la beauté de l’environnement. Je ne dirais pas Strider un jeu laid, mais ses graphismes sont plutôt fonctionnelles.

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2D action par excellence

Dès l’instant où le premier robot est tranché en deux Strider devient un vrai jeu d’action hardcore 2D et il ne changera pas jusqu’à ce que nous ayons coupé le dernier boss ennemi. Avec l’introduction constante des upgrades notre héros devient une véritable machine à tuer et notre succès dépendra uniquement sur nos réflexes.

Ainsi est le nom Strider est une fois de plus digne de sa réputation? Oui, il l’est. Est-ce que le jeu est innovant? Non, pas vraiment. Cela nous dérange? Si vous êtes un vrai amateur de 2D platform d’action, la manque d’innovation sera la moindre de vos soucis.

-BadSector-


Strider

Jouabilité - 8.2
Graphismes - 7.6
Histoire - 6.2
Musique/audio - 7.7
Ambiance - 7.6

7.5

BON

Ainsi est le nom Strider est une fois de plus digne de sa réputation? Oui, il l’est. Est-ce que le jeu est innovant? Non, pas vraiment. Cela nous dérange? Si vous êtes un vrai amateur de 2D platform d'action, la manque d’innovation sera la moindre de vos soucis.

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BadSector is a seasoned journalist for more than twenty years. He communicates in English, Hungarian and French. He worked for several gaming magazines - including the Hungarian GameStar, where he worked 8 years as editor. (For our office address, email and phone number check out our impressum)