Call of Duty: Infinite Warfare – Mon Dieu, c’est plein d’étoiles !

TEST – Activision et la Infinity Ward étaient placide dans leur résolution, quand ils ont annoncé l’épisode suivant de Call of Duty : Infinite Warfare: tandis qu’Electronic Arts est entré dans le passé de l’histoire avec le Battlefield 1, Activision ont continué la guerre dans l’avenir. Tandis que multijoueur d’habitude domine l’attention de base des joueurs de le série, je voudrais conseiller aux joueurs de donner une chance à ce que je crois être l’un des modes de campagne le plus passionnant et le mieux réalisé de la franchise entière.

 

Appeler le Call of Duty suivant “Infinite Warfare” a peut-être été l’une des idées le moins créative possible – et c’est le moins qu’on puisse dire. Voyons voir… Nous avions Modern Warfare, Advanced Warfare et maintenant … Infinite Warfare! Mon dieu ! Quelle créativité !

Pas étonnant, que la majorité des joueurs était dégoûté du choix du titre, et c’est compréhensible aussi, qu’ils ont le contenu SF ne les excitait pas non plus. En fait, c’est essentiellement les deux caractéristiques principales que nous avions pu voir depuis assez longtemps des titres d’Call of Duty, d’autre séries FPS aussi, comme Titanfall 1 et 2 (le dernier Titanfall est justement du même genre.)

Aussi les pubs et les infos sorti tout droit du marketing d’Activision pour ce titre de Call of Duty n’étaient pas aussi impressionnant, qu’on en avait la coutume – c’était trop modérée cette fois-ci. Oui, quand on a trop de hype, ça devient agaçant, mais là c’était vraiment le contraire, avec des vidéos de jeu peu informatives. Donc, autant de dire, que j’ai entré le disque BR dans mon PS4 avec peu d’enthousiasme et un peu sceptique. Et ensuite, j’ai commencé le jeu …

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” Quelque chose de merveilleux et d’effrayant”

Le monde d’Infinite Warfare et le scénario ressemblent essentiellement à un mélange entre Battlestar Galactica, Killzone, le Halo et bien sûr, Call of Duty. L’humanité est entrée dans l’espace – même si seulement dans notre système solaire. Malheureusement pour nous, les humains ne peuvent jamais vivre dans la paix – même pas dans l’espace. Les colonies de la Terre, sont un peu comme l’Amérique était dans l’histoire réelle au 18 siècle th où ils se sont rebellés contre le Royaume-Uni.

Dans ce proche avenir, ils se sont unis dans une faction fortement militarisée qui s’appelle Settlement Defense Front (SDF). C’est un groupe militaire indocile qui a colonisé le système solaire et qui se battent contre leur planète Terre domestique, tenue par l’Alliance d’Espace de Nations unies. Toutefois – comme toujours – c’est plutôt une guerre interplanétaire pour des ressources.

Cependant, la Invinity Ward raconte l’histoire de cette guerre d’une façon personnelle, qui suit le destin de Lieutenant Nick Reyes, un soldat de Forces Spécial courageux et jusqu’au boutiste et un pilote qui n’obtient jamais un sursis de moment et qui est toujours promue sur le champ même de la bataille. La grande vision des développeurs était d’améliorer l’histoire et les caractères d’une façon de provoquer votre sympathie pour eux. Vous verrez quelques scènes très émotives, qui sont surprenants de la part d’un Call of Duty, pendant les missions de Capitaine Reyes.

L’autre nouveauté, est que bien que les joueurs aient un peu de liberté dans la façon dont ils complétent les missions, et quel genre de mission ils choisissent.

Vous ne savez rien, Kit Harington

Dans les rangs du SDF nous avons un leader froid et cruel, le joué par Kit Harington de Game of Thrones, avec une interprétation qui font lever quelques sourcils… Le regardant son acte je me suis demandé, s’il joue un psychopathe sans émotions, qui assassine tout le monde, ou qu’il s’ennuie ferme en lisant ses lignes dans un studio de mo-cap à Los Angeles.

Quelle que soit le cas, c’est lui-même qui mène l’invasion surprise personnelle pour décimer la flotte de la Terre – parce que, hé les plus grands vaisseaux spatiaux de le Terre doivent être sont en même endroit pour une parade – et l’Alliance d’Espace de Nations Unies ont seulement deux vaisseaux pour commencer une contre-attaque désespérée. Et qui doit mener cette attaque ? Oui, bien sûr, c’est vous …

Toujours il faut avouer sou – en s’il est semé de quelques – la campagne d’ Infinite Warfare possède un mélange serré d’exposition narrative et des pièces d’ensemble très bien exécutées. Le jeu nous présente aussi pose aussi un future intéressant, particulièrement si pensant de titres récents quant aux avances dans le vol spatial et la colonisation d’autres planètes et pas oublions que les attaques terroristes non plus.

Le jeu ne manque pas de l’humour non plus. Le héros a un copain mécanique : un compagnon de robot, dénommé Ethan (a formellement orthographié ETH.3n qui est l’abréviation de Enhanced Tactical Humanoid 3rd Revision), qui est sans doute le caractère le plus drôle du jeu, qui nous livre des moments de détente dans une histoire de guerre si sinistre.

Ethan est aussi capable d’émotions semblables à l’homme et ses réponses sont parfois très amusants. Il ne plaisante jamais quand un évènement tragique se présente il est aussi un combattant capable.

En fait, le jeu ressemble á un film SF à grand succès, grâce aux créateurs qui vous racontent une histoire émotionnelle, puissante et réaliste de cette guerre futuriste parmi des humains. Étant donné qu’Infinite Warfare est un FPS, dont le récit interactif des fois peut tourner au vinaigre, mais heureusement cette foi-ci ce n’est pas le cas grâce au réalisme présent dans la narrative – en particulièrement les acteurs. Vous sentez leur douleur, leurs émotions et les répercussions de ces choix qui se présentent peuvent causer la vie à vos soldats.

Dans l’espace personne ne peut vous entendre jouer au COD

Chose amusante, Call of Duty Infinite Warfare multiplie les phases de shoot spatial, en mettant le joueur à bord d’un petit vaisseau de combat appelé Jackal. Et c’est une très bonne chose, puisque ces moments sont particulièrement bien fichus, avec des sensations manettes en main très plaisante, et l’habilité historique de la série à enchaîner les scènes de guerre hyper spectaculaires. Un gigantisme qui n’est pas sans rappeler le travail de George Lucas, bien entendu, et qui met en lumière à quel point DICE est passé à côté de son sujet, avec le mode Squadron Fighters de son Star Wars Battlefront.

Ces passages sont très bons et surtout incroyablement nombreux, à tel point que l’on finit par se demander… si Infinite Warfare n’est pas un shooter spatial, plutôt qu’un FPS. Et surtout, s’il n’est pas moins bon lorsqu’il revient à ce qu’est la série. Les moments de gunfights classiques sont toujours aussi intenses, grâce à une mise en scène soignée (notamment à Genève ou lors de la dernière mission du jeu). Et n’oublions pas les phases de combat en gravité zéro non plus, admirablement servies par un gameplay efficace, mais qui sont surtout présentes en missions secondaires.

On saluera aussi le travail effectué sur les armes, qui rendent le tout plutôt ludique. Entre les armes classique, les armes à énergie, et les gadgets futuristes, Infinity Ward a créé tout un arsenal extrêmement amusant à utiliser, notamment en ce qui concerne les armes à double-utilisation. Certaines proposent au joueur de maintenir la touche Triangle pour modifier le type de tir, ou le viseur.

Cette versatilité cache parfois des effets secondaires amusants, et permet d’épicer un peu les parties. De même que les différents accessoires, comme la grenade-araignée, qui se fraie un chemin jusqu’à un ennemi, pour lui exploser au visage, apportent ce petit côté James-Bondesque qui nous rappellent de temps à autre qu’Infinite Warfare se déroule dans un futur lointain… Ce qui ne sera pas toujours suffisant pour faire oublier quelques défauts de conception, notamment en ce qui concerne le level-design.

On citera en exemple cette mission sur un astéroïde approchant dangereusement du soleil, qui dans un premier temps alterne avec un certain talent les moments de stress intense, en extérieur, et les moments d’enquête en espace beaucoup plus confinés. Infinite Warfare installe alors une ambiance glauque rappelant presque Alien, Le Retour… Mais tout dérape lorsqu’apparaissent des vagues d’ennemis qui courent bêtement vers le joueur.

À plusieurs reprises, celui-ci sera obligé de zoner devant une porte, ou sur une petite passerelle, avant de pouvoir continuer sa progression. Ces phases de shoot un peu neuneu sont peu peu intéressantes qu’elles sont frustrantes, car les niveaux ne sont pas clairement pensés pour des gunfight aussi intenses, dans lesquels la capacité du joueur à se déplacer intelligemment est plus importante que celle de viser correctement.

On notera également un dernier détail, particulièrement frustrant : la condition physique du Capitaine Reyes. Dès lors que celui-ci est touché, l’écran se trouble de manière considérable, vous empêchant de riposter. La plupart du temps, vous serez donc obligé de vous cacher, en espérant qu’en relevant la tête, vous arriverez à voir votre assaillant, et pourquoi pas l’abattre, avant qu’il ne vous touche à nouveau. Voilà qui agace rapidement, surtout dans les modes de difficulté les plus élevés, et a une fâcheuse tendance à casser le rythme des parties.

Commandant à bord !

En tant que capitaine, vous aurez donc la possibilité de choisir où aller dans l’espace et l’ordre dans lequel vous mènerez vos missions. À bord du Retribution, qui fait office de hub central pour cette nouvelle campagne, vous trouverez donc sur le pont de commandement une carte du système solaire où vous seront indiqués missions principales et missions secondaires. À la manière d’un Mass Effect, vous pourrez donc miser sur les missions secondaires et vous envoler pour une destination lointaine, ce qui n’est pas dénué d’intérêt, loin de là même. Ces missions secondaires sont, pour la plupart, beaucoup plus originales que les missions principales qui sont elles très proches de ce qu’a produit la série jusque là.

Elles proposent une belle variété de mission, que ce soit en termes d’objectifs ou simplement de conditions de combat. On retiendra notamment les nombreuses batailles spatiales, à bord d’un petit vaisseau de combat, les gunfights en gravité zéro et ses contrôles bien pensés, ou les missions d’infiltration à bord de vaisseaux ennemis. Au total, on compte donc 7 missions principales et 9 missions secondaires, pour environ 7h à 8h de jeu.

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Un multi BOF et un mode zombie plutôt fun

Le mode multi de Call Of Duty : Infinite Warfare n’est pas mauvais en soit mais ne m’a pas non plus emballé. Pour être franc avec vous quand j’ai joué à Infinite Warfare je sortais de 2 semaines de nuits blanches sur le multi de Battlefield 1, je suis donc obligé de faire la comparaison. Et ce match est remporté par Battlefield 1 qui atteint un niveau de plaisir de jeu bien supérieur à celui de ce nouveau Call Of.

Le mode zombie de Call Of Duty : Infinite Warfare n’a jamais été aussi fun ! Si vous connaissez déjà le mode zombie des épisodes précédents alors vous connaissez le principe : on pose son cerveau et on tire dans tous les sens ! Cet épisode 2016 est encore plus déjanté et va encore plus loin dans le n’importe quoi et surtout dans le fun. Le plaisir de jeu est énorme et vous aurez du mal à lâcher la manette.

Côté technique, Call of Duty : Inifinite Warfare est un vrai plaisir pour les yeux. La débauche d’effets visuels transforme le jeu en véritable blockbuster hollywoodien sans pour autant délaisser le framerate du titre, qui ne bronche quasiment jamais. Mis à part une scène au tout début du jeu où un énorme vaisseau vient s’écraser dans la baie de Genève, le titre affiche constamment 60fps sans sourciller. Concernant l’IA, les développeurs ont aussi mis le paquet. Sans être des génies, les soldats adverses se mettent régulièrement à couvert et n’hésite pas à se déplacer si vous essayez de leur lancer une grande dessus.

De même, ne comptez pas la jouer Rambo en fonçant dans le tas sans réfléchir. L’IA vise plutôt bien et quelques balles suffiront pour vous mettre à terre. Si vraiment l’IA ne vous pose aucun problème, vous aurez toujours la possibilité de passer en mode Hardcore, disponible après avoir fini le solo en mode Commando. Dans ce mode de difficulté extrême, la régénération de vie ne sera possible qu’en récupérant des médikits présent tout au long de votre mission.

Lost in Space

Ainsi, Call of Duty : Infinite Warfare offre une durée de vie conséquente pour un FPS de ce genre, aussi bien en multi qu’en solo. Enfin, on saluera également le travail effectué sur le remaster de Call of Duty Modern Warfare (sorti initialement en 2007). Le jeu a subi un véritable lifting avec des textures de meilleures qualités et des effets visuels à foison qui réveilleront la nostalgie des joueurs de l’époque.

Honnêtement, nous ne pouvons que conseiller aux joueurs de prendre la version Legacy de Call of Duty : Infinite Warfare. Pour 10€ de plus que la version standard, les joueurs auront accès à l’un des meilleurs épisodes de la saga, qui en plus d’offrir une campagne solo sympathique, permettra aux joueurs d’avoir un multijoueur plus classique où jetpack et courses sur les murs ne seront pas de la partie.

-BadSector-

 

Pro:

+ Un scénario moins linéaire qu’à l’accoutumée
+ Les combats en Jackal
+ Les combats en gravité zéro

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Contre:

– Quelques chutes au niveau des graphismes dépendant de la vitesse de déplacement
– Kit Harrington, inutile
– Trop de mauvaises cartes en multijoueur


Éditeur: Activision, Sony Interactive Entertainment

Developpeur: Infinity Ward

Genre: FPS

Date de sortie: le 4 novembre 2016

Call of Duty: Infinite Warfare

Jouabilité - 9.1
Graphisme - 9.2
Histoire - 8.6
Musique / audio - 8.2
Ambiance - 8.4

8.7

EXCELLENT

Ainsi, Call of Duty : Infinite Warfare offre une durée de vie conséquente pour un FPS de ce genre, aussi bien en multi qu’en solo. Enfin, on saluera également le travail effectué sur le remaster de Call of Duty Modern Warfare (sorti initialement en 2007). Le jeu a subi un véritable lifting avec des textures de meilleures qualités et des effets visuels à foison qui réveilleront la nostalgie des joueurs de l’époque. Honnêtement, nous ne pouvons que conseiller aux joueurs de prendre la version Legacy de Call of Duty : Infinite Warfare. Pour 10€ de plus que la version standard, les joueurs auront accès à l'un des meilleurs épisodes de la saga, qui en plus d’offrir une campagne solo sympathique, permettra aux joueurs d’avoir un multijoueur plus classique où jetpack et courses sur les murs ne seront pas de la partie.

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BadSector is a seasoned journalist for more than twenty years. He communicates in English, Hungarian and French. He worked for several gaming magazines - including the Hungarian GameStar, where he worked 8 years as editor. (For our office address, email and phone number check out our impressum)