DarkSwitch : Un jeu de stratégie Lovecraftien avec la musique de Silent Hill et une ambiance façon Frostpunk ! [VIDEO]

Deux raisons vont vous donner envie de jouer à ce jeu de stratégie Lovecraftien : la bande-son signée par le compositeur de Silent Hill et des sensations dignes de Frostpunk. DarkSwitch plonge l’humanité dans une apocalypse où la civilisation doit survivre en bâtissant dans les branches d’un arbre géant pour échapper au brouillard dévastateur.

 

Un arbre colossal sert de dernier refuge à l’humanité face aux horreurs cosmiques dans DarkSwitch. Cyber Temple signe ici son premier jeu, mélange de stratégie, gestion et construction de ville aussi fascinant qu’inquiétant. Dans un univers directement sorti de l’imaginaire de Lovecraft, les joueurs doivent édifier une cité sur le tronc et les branches d’un arbre de 200 mètres tout en luttant contre un brouillard corrupteur prêt à tout engloutir.

Dans ce city-builder vertical, l’espace horizontal étant limité, il faut penser en hauteur : échelles, tyroliennes et niveaux interconnectés sont essentiels à l’expansion. La ressource la plus précieuse n’est ni l’or ni l’acier, mais la lumière : elle éclaire, protège et sert d’arme contre les créatures tapies dans la brume.

La gestion des ressources va bien au-delà de l’ordinaire : matières premières, biens manufacturés, infrastructures de production et surtout moral des citoyens, sans cesse mis à l’épreuve par le chaos ambiant. Le système défensif repose sur une mécanique organique façon tower defense, où l’éclairage stratégique des chemins et la construction d’armes alimentées par le Solium (énergie lumineuse) seront cruciaux pour survivre.

 

DarkSwitch : Explorer le monde extérieur, un risque à ne pas négliger

 

L’arbre n’est pas isolé du reste du monde : il est possible d’envoyer des expéditions dans d’anciennes ruines, de découvrir des territoires oubliés et d’établir de nouveaux avant-postes. Ces aventures révèlent les secrets de civilisations disparues, des artefacts étranges et des créatures cauchemardesques, tandis que le joueur fait face à des dilemmes moraux susceptibles de bouleverser l’histoire de son peuple.

Avec plus de 12 heures de campagne, un mode bac à sable, plus de 80 bâtiments uniques et une bande-son signée Akira Yamaoka (Silent Hill), DarkSwitch veut se distinguer comme une expérience stratégique unique et immersive. Son esthétique inquiétante, son récit à embranchements et la tension permanente promettent plus qu’une simple gestion : une lutte désespérée pour la lumière et la raison dans un monde oublié du soleil.

Source : 3djuegos

 

Spread the love
Avatar photo
theGeek is here since 2019.