Alita: Battle Angel – Un ange, qui ne plaisante pas

CRITIQUE DU FILME – Un projet de longue date de James Cameron, le roi du monde a confié les rênes d’Alita: Battle Angel à Robert Rodriguez, spécialiste du genre basé à Austin, tout en restant producteur et co-scénariste. Le choix du réalisateur a un sens absolu, car les deux sont positivement évangéliques à propos de la réalisation de films numériques et de la narration axée sur les effets.

 

Basé sur le manga Gunnm de Yukito Kishiro (qui se traduit par «Gun dream») et popularisé à l’ouest sous le nom de Battle Angel Alita (l’adaptation du film optant pour sa propre variante dans Alita: Battle Angel), l’intrigue est une réunion et une rotation Pinocchio et RoboCop. L’influence spécifique de la satire bien-aimée de Paul Verhoeven, ainsi que de son suivi Total Recall mettant en vedette Arnie, est évidente.

C’est là l’homme de main de Michael Ironside-esque de Mahershala Ali et son lien avec le mystérieux Big Bad (Ed Norton dans un camée qui clignote), très présent dans la conception de la production, ainsi que dans défilé d’hommes-mécaniques cyberpunk à armure de chrome et d’images macabres fondées sur des interventions chirurgicales.

Un avenir sombre

Une aventure classique racontant le voyage spirituel et intellectuel vers un moment crucial d’éveil et de pleine conscience, Rosa Salazar est aussi étonnante qu’Alita. Réalisé en capture de mouvement, l’acteur est la clé du succès d’Alita: Battle Angel. Si elle échouait à faire appel et à convaincre, le film coulerait comme le Titanic. Cameron et Rodriguez le savaient bien et ont remporté l’or avec Salazar.

Virtuelle inconnue, elle brosse le portrait nuancé et engageant d’une mystérieuse jeune femme robot qui trouve sa place dans un monde post-apocalyptique.

Plus de profondeur aurait été la bienvenue

Avec ses grands yeux Margaret Keane et sa curiosité «curieuse et curieuse», Alita se développe en une charmante héroïne pleine de cœur et possédant une sincérité séduisante. Par ailleurs, Rodriguez a eu l’intelligence de ne pas laisser le contingent fabuleux de monde et de séquences d’action entraver la narration ni le rôle de Salazar.

Les scènes avec Christoph Waltz, comme le personnage de Geppetto dans Pinocchio de Salazar, sont carrément adorables et le couple partage une relation affective père-fille, qui est jouée à la perfection (Dr. Dyson Ido de Waltz est un candidat précoce à Movie Dad of the Year. )

Film cool

Entre deux séries de coups de culs hypnotisants et incroyablement chorégraphiés, les expériences d’Alita se concentrent sur la navigation dans son nouvel environnement, la rencontre avec des personnes et des robots, et, comme un enfant innocent, ne pas réaliser, saisir ou apprécier aujourd’hui Iron City – une ville impressionnante. junkyard paysage baigné de manière trompeuse dans une riche lumière dorée – est un lieu plein de chagrins existentiels, d’horreur sociale, d’horreur corporelle, d’injustice brûlante et de pauvreté.

Non pas sans défauts, mais rien d’extraordinaire, Alita: Battle Angel est un divertissement de premier ordre sans cynisme et pop-corn animé par une performance exceptionnelle de Salazar. Une star est née.

-BadSector-

Alita: Battle Angel

Mise en scène - 8.2
Acteurs - 7.4
Histoire - 6.4
Visuels - 8.6
Ambiance - 7.5

7.6

BON

Entre deux séries de coups de culs hypnotisants et incroyablement chorégraphiés, les expériences d’Alita se concentrent sur la navigation dans son nouvel environnement, la rencontre avec des personnes et des robots, et, comme un enfant innocent, ne pas réaliser, saisir ou apprécier aujourd’hui Iron City - une ville impressionnante. junkyard paysage baigné de manière trompeuse dans une riche lumière dorée - est un lieu plein de chagrins existentiels, d’horreur sociale, d’horreur corporelle, d’injustice brûlante et de pauvreté. Non pas sans défauts, mais rien d'extraordinaire, Alita: Battle Angel est un divertissement de premier ordre sans cynisme et pop-corn animé par une performance exceptionnelle de Salazar. Une star est née.

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BadSector is a seasoned journalist for more than twenty years. He communicates in English, Hungarian and French. He worked for several gaming magazines - including the Hungarian GameStar, where he worked 8 years as editor. (For our office address, email and phone number check out our impressum)