Nintendo remporte 1,5 million de livres sterling dans l’affaire de piratage Switch

Nintendo a gagné 2 millions de dollars (1,5 million de livres sterling) dans une bataille juridique contre un site Web qui vendait des outils permettant aux gens de jouer à des jeux piratés sur sa console Switch.

Uberchips a été accusé de vendre du matériel et des logiciels permettant aux utilisateurs d’installer et de jouer à des jeux gratuitement.

Dans le cadre du règlement, il doit détruire tout son stock et remettre son nom de domaine à Nintendo.

Les outils vendus ont été fabriqués par le groupe de piratage Team-Xecuter, que Nintendo avait également voulu poursuivre.

Lorsque cet effort a échoué, Nintendo a ciblé les magasins qui proposaient ses outils à la place.

Selon le procès, Team-Xecuter conçoit et fabrique un système d’exploitation non autorisé appelé SX OS et propose des outils pour l’installer.

Ses puces fonctionnent sur toutes les consoles Nintendo Switch et Switch Lite.

Uberchips était géré par Tom Dilts Jr, basé dans l’Ohio, et était l’un des rares magasins à vendre les outils.

Après le début de l’action, le site s’est déconnecté avec un message aux visiteurs disant: “Un ensemble d’événements malheureux s’est produit.”

Il a annulé toutes les précommandes de ses produits SX et proposé des remboursements.

En juin, Team-Xecuter s’est entretenu avec le site Web d’information sur le piratage Torrent Freak, affirmant qu’il avait le droit de bricoler les appareils de Nintendo.

Il a déclaré que ses produits pourraient également être utilisés pour effectuer des sauvegardes de cartouches, étendre le stockage de la console et exécuter un logiciel open source sur l’appareil.

Le règlement, qui attend l’approbation d’un juge, n’est pas la fin de l’affaire.

Nintendo a intenté une autre action en justice contre huit autres opérateurs qui vendraient des produits Team-Xecuter.

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BadSector is a seasoned journalist for more than twenty years. He communicates in English, Hungarian and French. He worked for several gaming magazines - including the Hungarian GameStar, where he worked 8 years as editor. (For our office address, email and phone number check out our impressum)