À l’approche du 14 novembre, un trailer ciblé pour la France met en scène Philippe Etchebest dans un caméo très ciné — un choix qui a immédiatement divisé la communauté et déclenché un flot de réactions.
Dans la vidéo, le chef, costume sombre et regard fermé, reçoit l’appel pour intervenir et passe à l’action. Le message, conçu pour le public hexagonal, vise à élargir l’audience au-delà du noyau de fans tout en maintenant le buzz autour de Black Ops 7.
La réception est contrastée sur les sites et réseaux français : certains saluent un casting ambitieux et le clin d’œil filmique assumé ; d’autres y voient un caméo de célébrité déplacé pour un FPS militaire. La presse spécialisée souligne ce grand écart des avis, du sourire amusé au scepticisme.
Le spot s’inscrit aussi dans une tradition publicitaire de la série autour d’une figure remplaçante intransigeante, ici localisée avec une icône culturelle française. Les partisans invoquent un ton volontairement décalé pour l’amorçage pré-lancement ; les critiques dénoncent un décalage avec la tonalité plus réaliste revendiquée récemment.
Des animateurs radio et jeux vidéo louent son côté « badass », tandis que les fils de discussion s’interrogent sur une éventuelle présence dans le jeu (skin, apparition) ou un rôle limité au marketing. Activision n’a rien précisé au-delà de ce teaser, pensé avant tout pour la visibilité et le partage rapide.
Au final, l’objectif de portée et de conversation est atteint : vues massives, débats nourris, reprises médiatiques. Reste à voir si cette polarisation servira la marque en France, selon les prochains contenus et l’humeur de la communauté à l’approche de la sortie.
Source : RTL.fr, Xboxygen, La Crème du Gaming, Fun Radio



