Si l’on en croit les nouvelles rumeurs, le calendrier révélé lors de l’attaque par ransomware de fin 2023 ne pourra pas être respecté par le studio…
Les spéculations autour de Marvel’s Wolverine s’intensifient. Début septembre, Tom Henderson (Insider Gaming) affirmait que le State of Play pourrait montrer le premier gameplay dès ce mois-ci. Il ajoutait que les testeurs internes avaient accueilli le jeu très positivement et que la bande-annonce était quasiment prête. Toutefois, elle pourrait être révélée non pas au State of Play, mais lors des Game Awards en décembre.
D’après des sources anonymes citées par MP1st, Marvel’s Wolverine viserait désormais une sortie en 2026. Aucune nouvelle information n’a été donnée sur la première apparition du mutant canadien, mais le site a révélé des détails inédits sur l’autre projet d’Insomniac, Venom. Selon MP1st, le développement avance bien. Comme Wolverine, Venom avait fuité suite au piratage, faisant craindre une suspension ou même une annulation. Cette fois, c’est Eddie Brock qui servira d’hôte au symbiote. Dans Marvel’s Spider-Man 2, ce rôle avait d’abord été occupé par Peter Parker, puis par Harry Osborn. Brock sera ici représenté de manière plus fidèle aux comics, contrairement à la trilogie cinématographique où Tom Hardy l’incarnait.
Le jeu Venom d’Insomniac mettra également en scène Carnage. Les joueurs ont déjà pu l’entrevoir dans Marvel’s Spider-Man 2, lorsque Cletus Kasady, chef de la secte Crimson Hour, lançait à Peter Parker et Yuri Watanabe : « Quand l’Heure Écarlate atteindra la Terre, elle apportera justice, jugement et carnage. » Sa présence dans le futur jeu Venom est tout à fait logique, Carnage étant historiquement le successeur plus sombre, plus puissant et plus destructeur de Venom.
Il convient de rappeler que si Insomniac et Sony ont confirmé de longue date Marvel’s Wolverine, ils n’ont jamais officialisé la présence de Carnage. D’où l’évocation d’un retard : le plan initial prévoyait un jeu par an entre 2025 et 2030, avec Wolverine en tête de liste. Or, 2026 n’est pas 2025…