L’enfer se déchaîne dans la première bande-annonce de gameplay de Clive Barker’s Hellraiser: Revival [VIDEO]

Des adorateurs du mal, des tortionnaires dévoyés, des créatures monstrueuses et Pinhead lui-même se rejoignent dans un jeu d’action horrifique où chaque décision peut te condamner à une éternité de souffrance… ou de plaisir interdit.

 

Saber Interactive et Boss Team Games ont dévoilé la première bande-annonce de gameplay de Clive Barker’s Hellraiser: Revival. Ce titre solo, centré sur la narration et la survie, promet une plongée cauchemardesque dans l’univers créé par Clive Barker. Le joueur affronte Pinhead et les Cénobites dans un combat aussi physique que spirituel pour sauver son âme. La sortie est prévue pour 2026 sur PlayStation 5, Xbox Series X|S et PC via Steam. Les fans seront ravis d’apprendre que Doug Bradley reprend son rôle iconique en prêtant à nouveau sa voix au célèbre démon aux aiguilles, garantissant une atmosphère fidèle à la saga originale.

Clive Barker’s Hellraiser: Revival propose une histoire totalement inédite dans l’univers d’Hellraiser. Le joueur incarne Aidan, un homme désespéré qui doit libérer les pouvoirs obscurs de la mystérieuse Genesis Configuration – une boîte-puzzle infernale – afin de sauver sa petite amie des abîmes de l’Enfer. Cette quête l’entraîne dans un monde déformé et oppressant où l’attendent des sectes fanatiques, des déviants obsédés et des créatures infernales. En progressant, il acquiert des capacités surnaturelles et manie un arsenal d’armes aussi brutales qu’étrangement séduisantes, capables d’infliger aussi bien la douleur que le plaisir. Mais pourra-t-il échapper lui-même à l’éternelle damnation ?

Le gameplay repose sur la puissance de la Genesis Configuration, que le joueur peut combiner à des armes conventionnelles – armes à feu ou armes de corps à corps – pour se défendre contre les hordes infernales. La bande-annonce montre des affrontements violents, viscéraux et intenses, avec une mise en scène marquée par le body horror, les combats rapprochés et cette sensation constante que chaque erreur peut te livrer à la cruauté des Cénobites. Ce n’est pas un jeu de pouvoir, mais une lutte désespérée pour la survie, où chaque victoire se paie cher.

Les développeurs annoncent plusieurs points clés. L’histoire, entièrement nouvelle, plonge le joueur au cœur d’un rituel déclenché par Aidan, qui libère involontairement Pinhead – interprété par Doug Bradley – et ouvre la porte à la souffrance absolue. La Genesis Configuration devient une véritable arme infernale : ses pouvoirs uniques se combinent aux armes terrestres pour provoquer des attaques terrifiantes, broyant les os et brûlant la chair. Au fil de l’aventure, il faudra affronter les armées de l’Enfer – des esclaves torturés, des déviants corrompus, des cultistes fanatiques et les prêtres les plus redoutés du monde souterrain.

Sans surprise, la communication du jeu reprend l’esprit de la réplique la plus célèbre de la saga : « Nous avons tant de choses à te montrer… ». Le message est clair : Clive Barker’s Hellraiser: Revival ne cherche pas à ménager le joueur. C’est une expérience pensée pour les amateurs d’horreur pure, où l’esthétique de la souffrance et la fascination pour la douleur se rejoignent. Le jeu peut d’ores et déjà être ajouté à ta liste de souhaits sur Steam, PlayStation 5 et Xbox Series X|S.

Les fans les plus passionnés pourront opter pour l’une des deux Éditions Collector limitées proposées par Boss Team Games. Celles-ci incluent une version exclusive de la célèbre boîte-puzzle Hellraiser, dotée d’un effet lumineux inspiré du jeu, un socle spécial pour l’exposer, ainsi qu’une sélection d’objets de collection officiels créés spécialement pour ces éditions limitées. Plus d’informations sur les Éditions Collector de Clive Barker’s Hellraiser: Revival sont disponibles sur le site hellraiser.bossteamgames.com.

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BadSector is a seasoned journalist for more than twenty years. He communicates in English, Hungarian and French. He worked for several gaming magazines - including the Hungarian GameStar, where he worked 8 years as editor. (For our office address, email and phone number check out our impressum)

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