Deadcam veut votre peau (et vos nerfs) : ce jeu d’horreur VHS est réservé aux joueurs les plus endurcis

 

ACTUALITÉS CINÉMA – Certains films d’horreur distribuent des couches aux spectateurs, et on devrait sérieusement envisager la même chose pour Deadcam. Ce survival solo développé par Joure Visser ne fait aucun cadeau : il arrive sur Steam en accès anticipé à la fin du mois, prêt à traumatiser les amateurs du genre avec de nouveaux récits terrifiants.

 

Un nouveau challenger vient secouer la scène horror indé. Deadcam s’impose avec son style visuel rappelant les cassettes VHS angoissantes des années 90 : jeu d’horreur à la première personne, mélangeant esthétique rétro, survie et exploration narrative. Le concept est si glaçant que certains joueurs préféreraient recevoir des couches adultes, comme lors des avant-premières de Terrifier 2. Imaginé par Joure Visser, le créateur de Don’t Scream, Deadcam se présente comme un « survival analogique » où chaque session devient un nouveau found footage cauchemardesque. L’accès anticipé sur Steam commence le 23 juin avec une première histoire horrifique au Japon, dans une école abandonnée. Et ce n’est qu’un début : Visser prévoit d’ajouter quatre scénarios supplémentaires pendant l’Early Access.

 

Deadcam, le cauchemar interactif façon VHS

 

Chaque « fichier » dans Deadcam est une expérience autonome, avec son propre univers, son histoire et des mécaniques inédites. Dans le premier chapitre japonais, trois armes sont à votre disposition : un katana, un fusil à pompe et un pistolet. Chaque épisode dure environ une heure, mais avec trois fins différentes (seule la « bonne » fin garantit les 100 %), le jeu incite à recommencer pour tout débloquer.

L’interface rétro façon vieille caméra, avec ses indicateurs visuels de l’activité paranormale (proximité, vitesse des ennemis), renforce l’immersion et l’angoisse permanente. Cette combinaison entre tension et esthétique VHS transforme chaque scénario en véritable marathon de la peur, où le visuel devient une arme de torture psychologique.

Avec sa nostalgie 90’s, son horreur psychologique et sa structure épisodique digne des films V/H/S, Deadcam a tout pour devenir LE phénomène horrifique de l’année. Et si les frayeurs tiennent leurs promesses, Visser ferait bien de glisser une couche dans chaque boîte du jeu, comme la campagne marketing de Terrifier 2. Après tout, face à ce genre de terreur, un peu de protection supplémentaire n’est jamais de trop.

Source : 3djuegos

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