Nicolas Cage rêve de personnages inattendus : de Nemo à Beethoven, l’acteur veut tout explorer

ACTUALITÉS CINÉMA – Nicolas Cage a déjà incarné des personnages parmi les plus fous et imprévisibles du cinéma, mais dans une interview accordée à MovieWeb à propos de The Surfer, l’acteur oscarisé a révélé les figures – littéraires et historiques – qu’il rêverait d’interpréter. Et certaines surprises valent le détour.

 

Cage connaît un véritable renouveau ces dernières années, enchaînant des rôles parmi les plus audacieux et marquants de sa carrière. Qu’il joue Dracula, un tueur dérangé, un solitaire vivant avec un cochon ou même une version exagérée de lui-même, l’acteur n’a pas froid aux yeux. Mais s’il pouvait choisir ? Il adorerait se glisser dans la peau du capitaine Nemo, imaginé par Jules Verne, ou interpréter plusieurs figures historiques qui l’inspirent. Il confie :

« Wahou, n’importe quel personnage, vraiment. J’ai souvent dit que j’aimais le capitaine Nemo de Jules Verne, parce que j’adore l’océan. Je pense que je prendrais beaucoup de plaisir à jouer ce rôle. Il y a des figures historiques qui m’inspirent, mais que d’autres ont déjà bien interprétées. Beethoven, par exemple, ce serait fascinant. Quelqu’un du monde de l’art qui m’inspire. Dostoïevski. Il y en a plein. »

Après des productions comme Renfield, Cage semble s’éclater à nouveau, et cette joie de jouer transparaît dans ses dernières performances.

Interrogé sur la possibilité de reprendre un ancien rôle, l’acteur a été catégorique : il veut aller de l’avant.

« Je ne veux en refaire aucun. Je ne veux pas regarder en arrière. Je veux avancer. »

 

Un retour en grâce qui ne faiblit pas

 

De nombreux acteurs ont connu une seconde carrière récemment, mais peu peuvent rivaliser avec la cadence et la qualité de Nicolas Cage. En cinq ans, il a tourné dans plus de vingt films, et plusieurs autres sont en production.

Encore plus impressionnant : les critiques sont à nouveau dithyrambiques. En 2021, Pig – où il incarne un chasseur de truffes à la recherche de son cochon enlevé – a récolté 97%. L’année suivante, The Unbearable Weight of Massive Talent, avec Pedro Pascal, a atteint 87% auprès des critiques et du public. Plus récemment, sa série de succès s’est poursuivie avec Dream Scenario (91%), Longlegs (86%) et The Surfer (86%). Seul bémol : Gunslingers, un western low-cost, qui s’effondre avec un minable 5%. Mais bon, on peut bien lui pardonner un faux pas, non ?

Source: MovieWeb

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BadSector is a seasoned journalist for more than twenty years. He communicates in English, Hungarian and French. He worked for several gaming magazines - including the Hungarian GameStar, where he worked 8 years as editor. (For our office address, email and phone number check out our impressum)