ACTUALITÉS CINÉMA – Pendant des années, The Walking Dead a été la référence des séries zombies, mais avec l’arrivée de The Last of Us, le genre a pris une dimension beaucoup plus sombre et angoissante.

Quelques mois seulement après la fin de The Walking Dead, une autre série apocalyptique a rapidement capté l’attention du public. Bien que similaires à première vue, les deux séries diffèrent considérablement par la nature et la menace que représentent leurs créatures respectives. Là où les zombies de The Walking Dead sont souvent lents et faciles à éviter, les infectés de The Last of Us, comme les claqueurs ou les colosses, constituent une menace immédiate et terrifiante, rendant la survie extrêmement difficile. Ce danger constant est l’une des clés du succès récent de la série.

The Walking Dead était la série phare des années 2010, attirant jusqu’à 15 millions de téléspectateurs par épisode à son apogée. Pourtant, à mesure que l’intérêt pour les zombies déclinait, la série a vu son audience fondre jusqu’à son arrêt en 2022. The Last of Us a su redonner un souffle nouveau au genre grâce à une approche très différente du concept des infectés.

Les infectés de ‘The Last of Us’ sont une menace bien plus sérieuse

Contrairement à The Walking Dead, qui gardait mystérieuse l’origine exacte de ses zombies, The Last of Us présente clairement son infection, provoquée par le champignon Cordyceps. Ces victimes infectées ne sont pas des morts revenus à la vie, mais des êtres humains vivants contrôlés par un parasite, ce qui ajoute une couche supplémentaire d’horreur psychologique.

Les infectés sont rapides, imprévisibles et très agressifs, rendant toute rencontre potentiellement fatale. Vivre sous la menace permanente d’une telle infection est beaucoup plus éprouvant, ce qui explique en grande partie l’engouement du public et des critiques pour cette nouvelle approche.

La saison 2 de The Last of Us débute le 13 avril sur HBO et Max. L’intégralité de The Walking Dead est disponible sur Netflix.

Source : MovieWeb