ACTUALITÉS CINÉMA – James McAvoy subit une transformation véritablement bestiale pour son nouveau film, Speak No Evil, où il incarne d’abord un personnage charmant et intrigant qui dévoile lentement son côté sombre.
“J’ai eu de la chance d’arriver sur ce film car j’avais déjà pris de la masse musculaire auparavant,” a expliqué l’acteur écossais à Entertainment Weekly. “Je m’entraînais depuis des années pour des rôles comme ceux dans Split et Glass, qui exigeaient que je me muscle pour accentuer la brutalité de mes personnages. Ce film nécessitait la même chose, mais la situation était plus délicate. Dans Speak No Evil, mon personnage commence comme sympathique, donc nous devions faire en sorte qu’il n’ait pas l’air intimidant dès le début. Au début de l’histoire, lorsque les deux familles sont simplement en vacances et que tout est lumineux et ensoleillé, nous ne pouvions pas révéler que le méchant était déjà là. À mesure que l’histoire avance, je devais devenir plus physiquement imposant. J’ai réalisé cela en utilisant la méthode classique que les acteurs utilisent pour les films de super-héros afin d’avoir l’air aussi super que possible : peu de glucides, beaucoup de protéines, et des muscles gonflés. J’avais déjà la base, donc c’était facile. Cela dit, je suis maintenant revenu à ma forme normale. Je ne suis pas chétif, mais je ne suis pas non plus musclé.”
Speak No Evil est un film d’horreur danois de 2022 et l’adaptation américaine de The Visit. Le réalisateur James Watkins décrit son film comme moins axé sur le gore et plus sur la motivation émotionnelle. L’intrigue suit une famille américaine avec de jeunes enfants qui, pendant des vacances, se lie d’amitié avec un couple anglais ayant eux aussi des enfants. Par sympathie mutuelle, le couple anglais invite les Américains dans leur domaine isolé à la campagne. Cependant, les invités réalisent rapidement que les hôtes amicaux ne les ont pas invités pour une simple amitié, et qu’ils sont loin d’être accueillants.
(Speak No Evil – sortie en France : 12 septembre 2024.)