Les bombardements d’avis sont un facteur courant sur les sites Web ces derniers temps, et sur Steam, nous avons soudainement vu beaucoup de critiques négatives.
Take-Two a peur pour son portefeuille. Nous pouvons le dire avec une telle certitude car ils estiment que les avis négatifs constituent un risque commercial sérieux. L’essor des médias sociaux n’a fait qu’exacerber ce que nous observons depuis longtemps sur les sites d’agrégateurs d’avis ou sur les sites d’avis d’utilisateurs (par exemple GameFAQ). Au début des années 2010, Valve (Steam), Sony (PlayStation Network) et Microsoft (Microsoft Store) ont également commencé à autoriser les utilisateurs à laisser des avis sur les jeux.
Dans un document 10-K résumant ses activités au cours de l’exercice écoulé, Take-Two a exposé ses réflexions. Cela a été rapporté par Stephen Totilo, éditeur de Game File. Selon l’éditeur, il est important d’obtenir et de conserver des scores élevés sur ces sites car il ne s’agit pas seulement d’obtenir un bon score, mais aussi de rendre le jeu plus visible dans les rayons des magasins. Les campagnes de discrédit peuvent donc avoir un impact financier sur les résultats de l’éditeur en réduisant le nombre de joueurs, les revenus qui en découlent, ou les deux. Cela pourrait augmenter les coûts marketing de Take-Two pour rivaliser avec les campagnes d’avis négatifs.
On dirait que Take-Two soudoie les gens pour gonfler la note moyenne, car autrement, comment dépenseraient-ils en marketing ? Inondent-ils Internet de publicités ? Nous avons du mal à le croire. Au moins, l’éditeur a reconnu que de nombreuses critiques négatives peuvent être la faute du produit s’il est de qualité inférieure. L’éditeur avait déjà reçu de très mauvaises critiques pour les ports PlayStation 4 et Nintendo Switch de Red Dead Redemption, car il ne s’agissait pas de véritables remasters (mais on s’y attendrait, car 30 FPS sur une PlayStation 5 dans un jeu sorti il y a près d’une décennie). et demi, ça a l’air plutôt mauvais).
Leur argument est compréhensible, mais aussi un peu hilarant.