Le conglomérat suédois, qui est en train de se scinder en trois sociétés, aurait désormais abandonné ses projets de suite à Red Faction : Guerrilla.
Rock Paper Shotgun rapporte que Red Faction: Guerrilla, sorti en 2009, devait être poursuivi par Embracer Group, mais le projet a été abandonné. Cela n’a pas été fait par Volition : ils ont créé l’IP il y a plus de deux décennies, mais sont ensuite passés à Saints Row et ont fait un petit détour (Agents of Mayhem), mais le redémarrage de Saints Row a été un échec, et les 2 milliards de dollars proposés L’accord avec Savvy Games a échoué, alors Embracer a dû se serrer la ceinture. Volition était l’une des victimes. Alors qui a travaillé sur le jeu ?
C’était Fishlabs. Le studio basé à Hambourg avait déjà développé Chorus, un jeu de combat spatial sorti en 2021. Avant de soumettre un pitch pour Red Faction, le studio avait des idées pour un jeu Le Seigneur des Anneaux. Cela a été présenté aux entreprises de la Terre du Milieu par Fishlabs. (Cette société, l’un des “successeurs” d’Embracer, se concentrerait sur l’héritage de Tolkien). Cependant, le studio allemand n’a pas eu beaucoup de réponses, alors ils sont passés à Red Faction…
La nouvelle Red Faction devait avoir lieu environ 100 ans après Guerrilla, elle se serait donc déroulée sur une Mars plus colorée et terraformée. Il aurait mis en scène une protagoniste féminine menant une révolution des travailleurs clandestins. Selon la source de Rock Paper Shotgun, Fishlabs a examiné ce qui rendait Red Faction : Guerrilla bon et ce qui rendait Red Faction : Armageddon mauvais, et aurait travaillé à partir d’un mélange des deux. Ils souhaitaient également utiliser le moteur GeoMod (qui assurait la destructibilité), mais pensaient également aux éléments de simulation immersifs, à la personnalisation des véhicules et aux dialogues dynamiques.
Plaion (une branche d’édition d’Embracer) était initialement positif à propos du concept, mais un vote au sein de l’éditeur fin novembre a vu le projet annulé et Fishlabs a dû licencier environ 50 personnes, ce n’est donc plus qu’un studio de support. . dommage.