Honnêtement, nous ne pouvions pas en attendre moins de la part du créateur de NieR, sorti en tant que spin-off de Drakengard.
La publication japonaise 4Gamer a écrit sur un événement qui a eu lieu le 16 novembre lors de la conférence G-Star en Corée du Sud. Yosuke Saito (le producteur) et Yoko Taro (le créateur de NieR) sont apparus. À la fin de la conférence, Saito a promis que NieR continuerait tant que Taro serait en vie, mais ils n’ont pas pu donner de détails car la discussion portait principalement sur NieR: Automaton, sorti en 2017. La conception distinctive des personnages du jeu était censé plaire à son public cible japonais, et les développeurs espéraient qu’il pourrait s’agir d’un jeu de niche en dehors de son territoire. On a également parlé de concurrence entre un producteur et un directeur créatif, car ils avaient des besoins complémentaires lors du développement.
Saito a fait allusion à une collaboration encore inopinée entre les deux et espère avoir plus à dire à ce sujet en 2024, mais nous ne serions pas surpris s’il s’agissait d’une réédition de NieR: Automata de la génération actuelle (NieR : Replicant a également été porté de la PS3 vers la nouvelle génération…). Lorsque le NieR original est sorti en 2010, il n’était pas très bon et a même entraîné le développeur Cavia dans sa chute.
NieR a été très silencieux ces derniers temps, à l’exception de la version modernisée de NieR : Replicant, mais la franchise a gagné beaucoup de fans avec la sortie de NieR : Automata (et pas seulement au Japon), donc Square Enix devrait bientôt faire quelque chose de nouveau. Bien sûr, il y a le port Nintendo Switch d’Automata et le jeu mobile gratuit et scénarisé Re[in]carnation, mais il y a un besoin pour quelque chose basé sur console après tout ce temps.
Qui sait sur quoi Saito et Taro pourraient travailler ensemble. Peut-être un autre jeu mobile, peut-être une production théâtrale (car une telle chose existe), mais si la présentation portait sur NieR : Automata, peut-être pouvons-nous espérer une suite à cela. Square Enix n’est pas si stupide (mais ils aiment les NFT, mdr).
Source : PCGamer