Non, nous ne parlons pas d’un match en cage entre le propriétaire de Twitter et Meta, mais de quelque chose de beaucoup plus enfantin, dont nous sommes censés sortir à l’adolescence…
Ce matin à 4h01 CEST, Elon Musk, le propriétaire de Twitter, a écrit un article idiot : “Je propose un concours de mesure littérale de bite”, et a utilisé un emoji de règle. Musk, pourrait-on ajouter, a cinquante-deux ans. Avant cela (dimanche soir), il avait essentiellement traité Mark Zuckerberg de c_ck. Il a été précédé il y a deux semaines par Musk et Zuckerberg se soumettant à un combat en cage. Plus quelqu’un s’enrichit, plus il devient stupide… ?
On peut encore se demander si le combat de Musk et Zuckerberg aura lieu, mais il y avait des photos du premier avec des entraîneurs (nous n’avons pas pu le trouver sur le Twitter de Musk…), et le second a été jiu-jitsu avant le donnant-donnant. entre les deux leaders technologiques. Musk a récemment lancé sa campagne de diffamation contre Zuckerberg, Meta lançant il y a quelques jours son rival Twitter Threads (qui, selon Musk, est un vol de la plate-forme sociale qui est lentement renommée X). Twitter est dans le chaos, et il semble audacieux que Tweetdeck, la plate-forme multi-flux facile à utiliser, ne soit bientôt disponible que pour les abonnés Twitter Blue. Pourtant, on peut mentionner la limite quotidienne de tweet (et il y a eu quelques jours où vous ne pouviez même pas lire le site sans vous connecter), et les abonnés Twitter Blue ont une limite beaucoup plus élevée…
Pendant ce temps, le co-fondateur de Twitter, Jack Dorsey, a également un site de réseautage social, Bluesky, qui a récemment été lancé et est actuellement en version bêta, il n’est donc pas disponible pour la communauté au sens large. Mais même ainsi, le site a gagné beaucoup de nouveaux utilisateurs, l’obligeant à suspendre les nouvelles inscriptions. Cependant, Musk n’a pas réagi à ce site comme il l’a fait à Threads, qu’il considère presque certainement comme une menace, alors qu’il tient à secouer financièrement Twitter.
Ce n’est qu’avec ces mouvements et restrictions étranges qu’il ne gagnera pas la faveur des annonceurs…
Source : Forbes