APERÇU : Écrit et réalisé par CHRISTOPHER NOLAN, Oppenheimer est un thriller épique tourné en IMAX® qui plonge le public dans le paradoxe palpitant de l’homme énigmatique qui doit risquer de détruire le monde pour le sauver.
Le film met en vedette CILLIAN MURPHY dans le rôle de J. Robert Oppenheimer et la gagnante du Golden Globe EMILY BLUNT dans le rôle de sa femme, biologiste et botaniste Kitty Oppenheimer. MATT DAMON, lauréat d’un Oscar® , incarne Leslie Groves, directrice du projet Manhattan, et ROBERT DOWNEY, JR, nominé aux Oscars®. joue Lewis Strauss, commissaire fondateur de la Commission américaine de l’énergie atomique.
FLORENCE PUGH, nominée aux Oscars® , incarne le psychiatre Jean Tatlock ; JOSH HARTNETT joue le pionnier du scientifique nucléaire américain Ernest Lawrence; CASEY AFFLECK, lauréat d’un Oscar®, incarne Boris Pash, chef du contre-espionnage de l’armée au Presidio de San Francisco ; RAMI MALEK, lauréat d’un Oscar®, incarne David Hill, physicien expérimental associé ; et le cinéaste et acteur oscarisé KENNETH BRANAGH incarne le physicien lauréat du prix Nobel Niels Bohr.
BENNY SAFDIE (Licorice Pizza) dans le rôle du physicien théoricien Edward Teller, DYLAN ARNOLD (Halloween films) dans le rôle de Frank Oppenheimer, le frère cadet de Robert ; GUSTAF SKARSGÅRD (Air) en tant que membre du Manhattan Project Hans Bethe ; DAVID KRUMHOLTZ (The Ballad of Buster Scruggs) en tant que physicien lauréat du prix Nobel Isidor Rabi ; MATTHEW MODINE (The Dark Knight Rises) dans le rôle de Vannevar Bush, chef du Bureau américain de la recherche scientifique et du développement ; DAVID DASTMALCHIAN (Dune : première partie) dans le rôle de William Borden, un ardent défenseur de la supériorité nucléaire des États-Unis ; et le nominé aux Oscars® TOM CONTI (The Dark Knight Rises) dans le rôle d’Albert Einstein.
Le casting comprend, en tant que membres du Manhattan Project, le nominé aux Emmy MICHAEL ANGARANO (Haywire) dans le rôle de Robert Serber, JACK QUAID (Logan Lucky) dans le rôle de Richard Feynman, JOSH PECK (< em>Red Dawn) comme Kenneth Bainbridge, OLIVIA THIRLBY (Juno) comme Lilli Hornig, DANE DEHAAN (Valerian and the City of a Thousand Planets) comme Kenneth Nichols et DANNY DEFERRARI (Shiva Baby) en tant que lauréat du prix Nobel Enrico Fermi.
ALDEN EHRENREICH (Solo : A Star Wars Story) apparaît en tant qu’assistant du Sénat ; JEFFERSON HALL (Tenet) joue Haakon Chevalier, un ami d’Oppenheimer ; JASON CLARKE (Zero Dark Thirty) joue l’avocat spécial Roger Robb ; JAMES D’ARCY (Dunkerque) joue Patrick Blackett, le tuteur en chef d’Oppenheimer à Cambridge ; et TONY GOLDWYN (King Richard) joue Gordon Gray, un ancien secrétaire de l’armée qui a présidé le comité de 1954 supervisant l’audience d’habilitation de sécurité d’Oppenheimer.
Le film est basé sur le livre lauréat du prix Pulitzer American Prometheus : The Triumph and Tragedy of J. Robert Oppenheimer de KAI BIRD et de feu MARTIN J. SHERWIN. Le film est produit par la nominée aux Oscars® EMMA THOMAS p.g.a. (Dunkerque, Inception), pour Atlas Entertainment par le nominé aux Oscars® CHARLES ROVEN p.g.a. (Trilogie The Dark Knight, American Hustle), et CHRISTOPHER NOLAN p.g.a.
Les films de Nolan, dont Tenet, Dunkerque, Interstellar, Inception et The Dark Knight trilogie, ont rapporté plus de 5 milliards de dollars au box-office mondial et ont reçu 11 Oscars et 36 nominations, dont deux nominations pour le meilleur film.
Oppenheimer est filmé dans une combinaison de photographies grand format IMAX® 65 mm et 65 mm, y compris, pour la toute première fois, des sections en IMAX® photographie argentique noir et blanc.
Le directeur de la photographie est nominé aux Oscars HOYTE VAN HOYTEMA asc, fsf, nsc (Dunkerque, Tenet) ; la chef décoratrice est RUTH DE JONG (Nous, Non), la costumière est la gagnante ELLEN MIROJNICK (Fatal Attraction, Speed), la monteuse est l’as de JENNIFER LAME (Black Panther : Wakanda Forever, Tenet) ; et la musique est de LUDWIG GÖRANSSON, lauréat d’un Oscar® (films Black Panther, Tenet).
L’HISTOIRE
Les films de Christopher Nolan ont repoussé les limites de la narration cinématographique pour raconter des histoires épiques sur des héros improbables et des plans audacieux qui examinent la nécessité, la moralité et l’orgueil d’un effort ambitieux. Le film de braquage casse-tête Inception a plongé le public dans les espaces intérieurs de l’esprit rêveur, tandis que sa spectaculaire odyssée spatiale Interstellar les a emmenés dans un voyage trippant vers les limites extérieures et tourbillons en boucle de l’univers. Avec Dunkerque, Nolan a déployé de multiples perspectives et signatures temporelles pour capturer l’expérience déchirante des soldats essayant de survivre aux horreurs mortelles et déshumanisantes de la guerre, et avec Tenet, il a illuminé et manipulé les concepts de perspective et de temps pour tourner un thriller métaphysique de science-fiction sur le présent attaqué par le futur. Chacun de ses films a été réalisé avec une passion ravie pour les techniques de réalisation de films classiques tout en repoussant les limites de nouveaux outils, notamment les caméras IMAX®, pour réinventer l’art du cinéma lui-même.
Aujourd’hui, le scénariste-réalisateur nominé aux Oscars® présente à l’écran son film le plus ambitieux et le plus urgent à ce jour, un thriller épique qui plonge profondément dans la psyché d’un esprit américain singulier : le brillant scientifique derrière le invention bouleversante qui représentait la somme totale de l’ingéniosité humaine, une invention qui refaçonnerait la civilisation, alors même que son existence même menaçait l’avenir de l’humanité. Inspiré du livre lauréat du prix Pulitzer American Prometheus de Kai Bird et Martin J. Sherwin, Oppenheimer relate la vie et l’héritage de J. Robert Oppenheimer, le père de l’atome bombe.
“Ce que je voulais faire, c’était emmener le public dans l’esprit et l’expérience d’une personne qui s’est assise au centre absolu du plus grand changement de l’histoire”, explique Nolan. « Qu’on le veuille ou non, J. Robert Oppenheimer est la personne la plus importante qui ait jamais vécu. Il a fait le monde dans lequel nous vivons, pour le meilleur ou pour le pire. Et son histoire doit être vue pour être crue.
Appuyer sur le bouton
La fabrication de la bombe atomique a été un triomphe de l’ingéniosité humaine qui a donné lieu à un apprentissage qui a semé l’innovation dans d’innombrables domaines de la science et de la technologie. Mais cela a également déclenché une course aux armements qui a eu des ramifications sismiques et destructrices pour le monde entier, introduisant une nouvelle peur existentielle dans la vie des gens partout dans le monde qui n’a pas disparu.
L’origine du désir de Nolan de fabriquer Oppenheimer réside dans la peur qui a troublé les scientifiques du projet Manhattan alors qu’ils cherchaient les secrets de la fission pour fabriquer une bombe à fusion, une peur qu’Oppenheimer a surnommée “la terrible possibilité”. ”
“Pendant le test Trinity, Oppenheimer et son équipe faisaient face à la très petite possibilité que lorsqu’ils appuieraient sur ce bouton et déclencheraient cette première bombe, ils mettraient le feu à l’atmosphère et détruiraient la planète entière”, a déclaré Nolan. . “Il n’y avait aucune base mathématique ou théorique sur laquelle ils pouvaient complètement exclure cette possibilité, aussi petite soit-elle. Et pourtant, ils ont quand même appuyé sur ce bouton. C’est un moment extraordinaire de l’histoire humaine. Je voulais emmener le public dans cette pièce et être là pour cette conversation, puis être là quand ce bouton est enfoncé. C’est juste le moment le plus incroyable, si vous y réfléchissez. Le risque de celui-ci. La relation entre la science, la théorie, l’intellect – les choses que nous pouvons imaginer – par rapport à la nature pratique de l’introduction de ces idées abstraites dans le monde réel, en les traitant comme des réalités concrètes, et toutes leurs conséquences. (La preuve de la fascination de Nolan pour “la terrible possibilité” peut être trouvée dans son film précédent, Tenet, qui faisait référence à l’histoire.)
American Prometheus became a bible that informed and guided every aspect of the Oppenheimer production. During the screenwriting phase, it provided Nolan with rich stores of insight that helped him craft what interested him most, a critical portrait of Oppenheimer that not only dramatized formative and milestone events, but also explored his psychology and interrogated the consequences of his actions.
“Oppenheimer’s story is one of the great stories that there is,” Nolan says. “It’s full of paradoxes and ethical dilemmas, and that’s the kind of material I’m always interested in. While the movie tries to help the audience understand why people have done the things they’ve done, it’s at the same time asking should they have done the things they’ve done. And film, as a narrative medium, is uniquely suited to pulling an audience into a subjective experience, letting them judge things the way the characters judge them, while at the same time looking at these characters a little more objectively. At various points, we try to burrow into Oppenheimer’s psyche and take the audience on his emotional journey. That was the challenge of the film: To tell the story of a person who was involved in what was ultimately an extraordinary destructive sequence of events, but done for the right reasons, and tell it from his point of view.”
The story of Oppenheimer’s post-Manhattan Project years offers outside perspective on his work and legacy while also examining the motives and personalities of key individuals who impacted his life. That narrative centers on Lewis Strauss, another key player in shaping America’s nuclear policy after World War II. In 1959, President Dwight D. Eisenhower nominated Strauss to serve as Secretary of Commerce.
Nolan says he typically doesn’t think too much about directorial or producorial concerns while writing scripts for fear of inhibiting his creativity. But with Oppenheimer, he felt he needed to describe, on page, for the sake of his collaborators and studio, his visual strategies for presenting a complex story that toggled continuously between subjective and objective experience, as well as two different trials happening in two different times.
Nolan decided that the scenes told through Oppenheimer’s perspective would be in color (he also wrote them in the first person, an unconventional choice for a screenplay), with occasional cutaways to evocative, surreal imagery that symbolically expressed his interior world. The scenes that center on Strauss would be in black and white. “It’s a strange thing to do,” says Nolan of the unconventional choice to write in the first person. “But it made it clear to anyone who read the script that we, the audience, are on this ride with Oppenheimer. We’re looking over his shoulder, we’re in his head, we’re going everywhere with him.”
Reading the script for the first time, producer Emma Thomas says she was blown away by what Nolan had conceived. “The script for Oppenheimer definitely feels like a Chris Nolan script in that he’s always been fascinated by subjectivity and objectivity, and it’s a story told from different perspectives,” Thomas says. “But on the page, he did something that I’d never seen before, which is that Oppenheimer’s parts of the story are told in the first person; it’s an incredibly effective and efficient way to describe the interior life of a character to those of us on the production, including Chris himself, who need to put it on screen. I think it’s one of the best scripts I’d ever read.”
Nolan a écrit le scénario au cours de l’été 2021. Il a été immédiatement éclairé par Universal Pictures, leur première collaboration avec Nolan. Ainsi a commencé une mission créative qui ressemblait à quelque chose comme le projet Manhattan lui-même, un groupe de talents extraordinaires, dirigé par un réalisateur singulier, se réunissant dans une partie reculée du monde (y compris le laboratoire de Los Alamos lui-même) pour produire une grande œuvre qui engager et tester leurs capacités considérables.
LES PERSONNAGES
Le scénario de Christopher Nolan pour Oppenheimer appelait à un casting massif pour incarner les dizaines de personnages représentant certains des plus grands acteurs du 20e siècle. Nolan ne voulait pas utiliser de caractères composites dans un souci de simplification, estimant qu’il était faux d’attribuer les idées ou les innovations significatives et emblématiques d’une personnalité renommée à une autre. Et comme ses personnages entreraient et sortiraient de l’histoire dans des scènes au rythme rapide, et parfois, dans des camées charnus, il voulait s’assurer qu’ils apparaissaient distinctement pour le public et restaient vifs dans leur esprit.
“Cillian Murphy jouant Oppenheimer était la pièce maîtresse du film”, dit Nolan. “Mais je savais que Cillian allait avoir besoin de l’ensemble le plus extraordinaire autour de lui, de grands acteurs qui pourraient le défier et le pousser. Dans un film avec autant de visages différents, chacun devait être distinctif et crédible. Ainsi, l’ampleur de l’ensemble que le directeur de casting JOHN PAPSIDERA a mis en place est une caractéristique importante du film. Il est extrêmement important que le public puisse savoir qui fait quoi et qui est important de quelle manière. Ces acteurs devaient venir chaque jour sur le plateau avec une connaissance précise et précise du rôle de leur personnage dans les choses, de la contribution qu’ils ont apportée au projet Manhattan, de ce qu’ils ont apporté à une réunion, une expérience ou une dispute particulière un jour particulier. Donc, j’étais sur le plateau tous les jours entouré d’acteurs qui en savaient plus que moi sur ce qui se passait, de leur point de vue, et c’est vraiment ce que vous recherchez en tant que réalisateur.
Source : UIP
