L’éditeur japonais voulait changer quelque chose dans les trois jeux en question, mais cela a rendu une fonctionnalité inaccessible…
Capcom a publié une mise à jour pour Resident Evil 7 : Biohazard, Resident Evil 2 Remake et Resident Evil 3 Remake. Cela supprime la prise en charge de DX11 de ses titres 2017, 2019 et 2020, respectivement. C’est une décision discutable de Capcom car, même si DirectX 12 est une technologie plus récente, tout le monde ne peut pas ou ne veut pas de matériel (carte graphique) et de système d’exploitation (Windows 10, 11) capable de le prendre en charge.
Capcom a donc essentiellement supprimé une option de commodité qui aurait pu être résolue en ayant une fenêtre contextuelle lorsque le jeu commence à vous demander si vous souhaitez exécuter le DX11 ou la version DX12 mise à jour, qui n’est pas toujours la plus puissante en termes de performances. Quoi qu’il en soit, c’est leur bêtise. Mais l’éditeur japonais a fait un gigantesque oups : selon DSOGaming, ils ont supprimé le support du ray tracing des trois précédents titres Resident Evil !
Cependant, n’oublions pas que selon l’annonce, la prise en charge de DX11 devait se terminer le 12 juillet. Quelqu’un devrait regarder le calendrier car nous n’en sommes pas encore là. (Bien entendu, si vous avez acheté le jeu sur Steam, vous pouvez télécharger une version piratée car il s’agit d’une version antérieure ; dans ce cas, cela épuise le concept de copie de sauvegarde !)
Pour récapituler : Capcom annonce qu’il augmentera la configuration système requise pour trois de ses jeux (car DX12 nécessite un PC plus costaud), mais en attendant, ils ont cassé quelque chose pour que nous puissions dire adieu au ray tracing pour le moment. Capcom corrigera sans aucun doute cela dès que possible, mais c’est une histoire maladroite. L’entreprise japonaise devrait envisager de tester des correctifs, ce qui ne fera que nuire à sa réputation.
Et dans Resident Evil 4 Remake, ils ont mis en place des microtransactions payantes pour régler les armes. Après la sortie et les critiques. Insolence.
Source : DSOG