Le directeur des communications d’Activision Blizzard a annoncé son soutien à la société technologique de Redmond (même si elle n’a pas encore été autorisée pour l’accord de 68,7 milliards de dollars). Un peu pressée, Lulu Cheng Meservey…
Meservey a écrit sur Twitter : “Voir beaucoup de spéculation sur l’acquisition d’Activision Blizzard par Microsoft. Toute suggestion que la transaction pourrait avoir des effets anticoncurrentiels est absurde. Cette fusion profitera aux joueurs et à l’industrie américaine du jeu, d’autant plus que nous sommes confrontés à une concurrence accrue de l’étranger. Nous nous engageons à continuer à travailler en coopération avec les régulateurs du monde entier pour permettre à la transaction de se poursuivre. Néanmoins, nous n’hésiterons pas à nous battre pour défendre la transaction si cela est nécessaire.
Le timing est-il suspect ? Non, comme nous l’avons récemment écrit, Politico rapportait que la FTC (Federal Trade Commission) des États-Unis envisageait une poursuite antitrust contre Microsoft qui pourrait bloquer la transaction. Et Meservey a répondu publiquement que si l’affaire est effectivement lancée contre Microsoft, la société basée à Redmond devrait se battre pour qu’Activision Blizzard King fusionne avec la société après ZeniMax Media.
“Microsoft est prêt à répondre aux préoccupations des régulateurs, y compris la FTC et Sony, pour garantir la conclusion de l’accord en toute confiance. Nous suivrons toujours Sony et Tencent sur le marché après la clôture de l’accord, et ensemble Activision et Xbox profiteront aux joueurs et aux développeurs et rendre l’industrie plus compétitive”, a déclaré David Cuddy, porte-parole de la société de technologie basée à Redmond, à Politico.
Il est sûr de dire que Microsoft ne se précipitera pas rapidement sur Activision Blizzard, car le CMA britannique (leur régulateur du marché et de la concurrence) et la Commission européenne ont tous deux ordonné une enquête approfondie sur l’accord, et celles-ci ne seront pas achevées dans un la semaine. Ce n’est que lorsque l’acquisition sera autorisée partout que Microsoft pourra posséder l’éditeur dirigé par Bobby Kotick, dont Call of Duty est le joyau…
Source : VGC