La chose la plus surprenante à propos de la déclaration est quelle entreprise l’a dit…
CADE, le Conseil administratif brésilien pour la défense économique, a reçu une lettre de Microsoft in which the Redmond company responds to the concerns of the governmental organization. Ainsi, la société dirigée par Satya Nadella a commenté si l’IP de Call of Duty serait effectivement restreinte si Microsoft devait acquérir Activision Blizzard.
Selon Microsoft, Call of Duty aurait besoin d’attirer suffisamment de joueurs dans l’écosystème Xbox pour couvrir les pertes des sorties manquées sur les plateformes rivales (PlayStation), et chaque jeu entraînerait des coûts supplémentaires pour l’exclusivité (mais nous n’avons pas plus de détails dessus). Rappelons que Sony avait précédemment déclaré à CADE que le plan d’acquisition de Microsoft affecterait le choix des joueurs dans les futures ventes de consoles.
Microsoft a également répondu à ce commentaire en disant : “Les inquiétudes implicites de Sony concernant l’exclusivité du contenu de Sony [about] Activision Blizzard sont injustifiées, et les incitations de Microsoft sont de continuer à rendre les jeux Activision Blizzard disponibles sur les consoles concurrentes.” Et dans le passé, le PDG de Xbox, Phil Spencer, a également mentionné qu’il honorerait les contrats existants pour rendre Call of Duty disponible sur plusieurs plates-formes, mais cela s’appliquerait à trois autres jeux.
Microsoft a ajouté: “En réalité, non seulement Call of Duty n’est pas une” catégorie de jeux en soi “, mais il fait également face à une forte concurrence de la part de jeux de plusieurs genres et types.” Sur les vingt jeux de console les plus vendus l’année dernière, seuls deux provenaient d’Activision Blizzard en Amérique du Nord (Call of Duty : Vanguard en tête de liste, suivi de près par Call of Duty : Black Ops Cold War, selon le NPD Group).
La société affirme que cela ne fait pas partie de sa stratégie commerciale de retirer du contenu aux joueurs (Starfield ? Et ce n’est qu’un exemple de Bethesda…) et considère les services d’abonnement comme un moyen pour les consommateurs d’accéder aux jeux. En conclusion, l’insinuation de Sony selon laquelle Game Pass pourrait lui donner une avance inatteignable dans les services d’abonnement ignore la nature dynamique du “blues” dans son service PlayStation Plus…
Soudain, nous sommes dans l’émission Jerry Springer de l’industrie du jeu, en particulier comment Microsoft prétend que Sony paie les développeurs pour ne PAS mettre leurs jeux sur Game Pass…
Source : industrie du jeu