TECH ACTUS – Sony serait sur le point de fusionner PS Plus et PS Now en un seul abonnement sous le nom de PlayStation Spartacus.
Le nom de Spartacus vous est peut-être familier depuis quelques mois déjà. Il s’agit d’un service de jeux vidéo à la demande en cours de développement chez PlayStation comme alternative à Xbox Game Pass qui fusionnerait PS Plus et PS Now en un seul produit, selon Bloomberg. Aujourd’hui, l’agence de presse a publié ses informations et affirme que les premiers détails seront dévoilés dans quelques jours, la semaine prochaine pour être précis.
Selon des sources proches des plans de Sony, l’idée de la société japonaise est d’accompagner la première du service avec d’autres hits frais sans en dévoiler beaucoup plus que ce qui sera partagé à la fin de 2021.
La première de Spartacus sera accompagnée d’un catalogue de tubes à succès
L’idée de Spartacus est de proposer un service d’abonnement à trois niveaux : le premier niveau comprendrait les avantages PS Plus existants, le second un vaste catalogue de jeux PlayStation 4 et éventuellement PlayStation 5, et le troisième et dernier niveau permettrait aux abonnés de profiter des classiques de la PSX, PS2, PS3 et même PSP. En outre, le niveau le plus cher donnerait accès à des démos étendues et à des jeux en streaming.
Le lancement de Spartacus – qui, soit dit en passant, n’est qu’un titre de travail interne de Sony – devrait avoir lieu prochainement, une fois qu’il aura été annoncé au public. On ne sait pas encore si le lancement se fera par le biais d’un événement ou d’un communiqué de presse. En mars, plusieurs événements State of Play ont eu lieu, l’un consacré à la présentation de jeux vidéo japonais et l’autre consacré exclusivement à Hogwarts Legacy, un RPG de l’univers Harry Potter.
Bien que Spartacus, dans son état actuel, présente des différences significatives par rapport au Xbox Game Pass, qui compte 25 millions d’abonnés, Jason Schreier et Takashi Mochizuki mettent en avant l’offre de la multinationale japonaise comme une réponse au service de Microsoft. À tel point que Phil Spencer s’est empressé d’applaudir cette évolution.
Source : Bloomberg