CINÉMA ACTUS – Oscar Isaac pourrait bientôt incarner Marc Spector dans la série Moon Knight, mais ce n’est pas le seul rôle iconique que la star de Dune est prête à endosser. Isaac a déjà décroché le rôle de Solid Snake dans le film Metal Gear Solid prévu, et l’acteur a maintenant révélé pourquoi il a accepté le rôle de l’agent spécial de Konami.
Nous le verrons très bientôt en action avec un rôle principal dans l’adaptation cinématographique de Dune. Néanmoins, Oscar Isaac est déjà bien connu à Hollywood pour ses films tels que Ex Machina, Star Wars ou X-Men Apocalypse, entre autres. C’est lui qui donnera vie au légendaire Solid Snake dans le film basé sur Metal Gear Solid et réalisé par Jordan Vogt-Roberts.
Bien que nous ne connaissions pas encore beaucoup de détails sur le film, l’acteur s’est exprimé dans une interview dans laquelle il est interrogé sur sa présence, déjà confirmée, dans l’adaptation sur grand écran de la saga créée par Hideo Kojima. Et il n’a pas hésité à exprimer sa fascination pour l’univers Metal Gear dans des déclarations à Total Film.
“J’adore le jeu. J’aime le sentiment qu’il me procure à chaque fois que je joue. C’est une aventure dans laquelle on se sent isolé, triste et seul. Pourtant, il comporte aussi d’incroyables moments de violence et de terreur, mêlant ces concepts à des méchants étranges et psychédéliques”, déclare Isaac, qui poursuit : “La vérité est que, au fond, c’est une histoire contre la guerre. Donc je pense que ce sont les éléments que j’aime. Et donc, j’ai commencé à me demander comment ces concepts peuvent être transférés de manière passionnante dans un film.”
Le film Metal Gear Solid met plusieurs années à se concrétiser en raison de plusieurs facteurs externes. Il a été initialement annoncé en 2006 et devait sortir en 2011, mais plusieurs changements dans la production ont suivi. Actuellement, il fait ses premiers pas, mais si la présence d’Oscar Isaac a été confirmée en décembre dernier, c’est qu’il semble que tout ait été canalisé, et que la première soit plus proche qu’il n’y paraît.