L’un des employés de l’équipe (qui a récemment libéré Detroit: Become Human) a quitté Quantic Dream en raison de l’environnement de travail toxique.
Il y a quelques mois, nous avons aussi écrit sur la façon dont il y a (apparemment) un environnement toxique dans le studio, qui a été rapidement nié par Quantic Dream. L’ancien employé, qui a intenté une poursuite contre l’équipe de développement française, est parti après la publication en interne d’images Photoshopped sur les employés. Les médias français (Le Monde, Canard PC, et Mediapart) ont enquêté sur la situation, accusant les deux responsables de l’atelier (à savoir David Cage et Guillaume de Fondaumière) car, selon trois sites, ils ont fermé les yeux sur ces images, avait un comportement inapproprié, et ils ont également surmené les employés. Quantic Dream a déposé une plainte contre les médias, mais cette affaire n’est pas encore terminée.
Nicolas Turcev, qui travaille pour Gamekult, a rapporté sur Twitter (et Eurogamer a également écrit que le cas de l’ex-employé était risqué. Ils ont soumis l’avis de résiliation tout en se considérant comme la victime – cela signifiait qu’ils perdaient leur salaire et leurs droits en matière d’emploi, mais ils pouvaient demander un congédiement injuste. Pourtant, le tribunal français a décidé en faveur de l’ancien employé – Quantic Dream a gagné deux autres cas contre d’autres ex-travailleurs, cependant. (L’un d’eux a été interjeté appel.)
Même Quantic Dream n’est pas immunisé contre la loi française – et si un ancien employé a gagné une affaire, d’autres pourraient aussi être dans une bonne situation s’ils font face à l’équipe de Cage devant le tribunal.
Source: VG247
.@Quantic_Dream vient de perdre un procès aux prud’hommes contre l’un des salariés au cœur de l’affaire des photomontages du début d’année. La prise d’acte du rupture de contrat de travail a été requalifiée en licenciement sans cause réelle et sérieuse. Le studio peut faire appel
— Nicolas Turcev (@DocElincia) July 26, 2018