Dans PC Gamer septembre on peut, le co-directeur d’Assassin’s Creed Origins, Jean Guesdon, a expliqué en quoi l’année de développement supplémentaire donnée à son studio d’Ubisoft Montreal a été avantageuse pour cet épisode, qui été censé de relancer une saga totalement en perte des idées neuves.
Aussi, il avoue:
« Quand nous avons commencé le jeu il y a trois ans et demi, nous voulions qu’il soit « global », « entier », c’est donc pour cela que nous avons visé, pour terrain de jeu, un pays entier et sans chargement ni interruption. Nous avions un peu touché cela du doigt avec Assassin’s Creed IV Blackflag, ce sens d’échelle massive et de liberté totale, et nous voulions le porter sur la terre ferme, pour la toute première fois, avec un pays entier. Cette année de développement supplémentaire nous a permis de prendre le temps de livrer tout cela en haute qualité.«
Il dit aussi, qu’il a également voulu ôter au maximum les scripts pour que chaque aventure soit originale:
« Pour nous, c’était quelque chose qu’il était très important de mettre en avant. Nous voulons que les joueurs aient leur propre expérience personnelle, ce qui signifie moins de scripts et moins de guidance et de linéarité. Nous créons un monde, nous plaçons du contenu à l’intérieur, nous avons des douzaines de quêtes et des gens que vous allez rencontrer et qui vous raconteront leurs histoires. Mais entre toute ça, quand vous êtes dans ce monde, beaucoup de choses uniques peuvent arriver. Et jamais deux personnes ne pourront avoir la même expérience… c’est juste impossible!«
En effet, notre homme semble effectivement avoir raison tant il y a d’éléments aléatoires dans le monde très vivant de cet Assassin’s Creed Origins, à commencer par les guerres de faction auxquelles il nous tarde déjà de prendre part !