Dragami Games a conclu un accord avec une autre société pour coproduire des projets futurs, ce qui signifie que l’héroïne à la tronçonneuse ne sera plus seule.

Dragami Games a établi un partenariat avec Nada Holdings, société taïwanaise d’investissement et de développement, afin de lancer ensemble de nouveaux projets autour de la licence Lollipop Chainsaw. Selon le communiqué de presse, ces futurs développements incluront une large gamme de projets et des collaborations intersectorielles. Autrement dit, ils n’envisagent pas que des jeux : une approche transmédia pourrait être adoptée, allant au-delà du simple jeu vidéo.

« Il y a treize ans, notre équipe de développement d’origine a mis une passion et une créativité immenses dans la création de Lollipop Chainsaw. Depuis, le jeu a reçu un soutien et un amour incroyables de la part des fans. Nous sommes profondément reconnaissants pour cet engouement, qui nous touche beaucoup. Pour continuer à développer la licence et répondre aux attentes des fans, Dragami Games a pris la décision importante d’entrer dans une nouvelle phase de développement autour de l’IP Lollipop Chainsaw.

L’équipe de Nada Holdings partage notre enthousiasme et notre passion pour le titre, ainsi qu’une solide expérience dans l’investissement et le développement de licences. Grâce à ce partenariat, nous attendons avec impatience de créer ensemble de nouveaux projets qui perpétueront l’esprit et le charme du jeu original, tout en apportant une valeur nouvelle à la franchise », a déclaré Shohei Sato, président-directeur général de Dragami Games, dans un communiqué.

« En tant que grand fan de Lollipop Chainsaw, c’est un vrai honneur et un plaisir de participer à l’extension de cette propriété intellectuelle. Nada Holdings s’engagera pleinement à préserver l’esprit de l’œuvre originale et à répondre aux attentes de ses fans. Avec Dragami Games, nous sommes déterminés à développer une vaste gamme de nouveaux projets, » a ajouté Joe Teng, président de Nada Holdings.

On a hâte de voir ce que donnera cette alliance entre les deux sociétés (on en apprendra sûrement plus avec le temps). Quoi qu’il en soit, il est réjouissant de constater que ce n’est pas une société chinoise qui a prêté main forte, mais une taïwanaise : une rareté.

Source : Gematsu, Nada Holdings