ACTUALITÉS CINÉMA – Tom Cruise, qui semble passer plus de temps dans les airs que sur la terre ferme, vient d’ajouter une nouvelle distinction à son palmarès. Connu pour son engagement à réaliser lui-même les cascades les plus folles du cinéma, souvent en altitude, il a été honoré par l’une des institutions aéronautiques les plus prestigieuses au monde.
Le 8 février, Tom Cruise a reçu la Grand Medaille de l’Aero-Club de France, la plus ancienne et prestigieuse institution aéronautique du monde. Le prix, remis par Catherine Maunoury, récompense Cruise « pour sa contribution significative à l’histoire de l’aviation et son inspiration pour les pilotes de demain ». Une reconnaissance qui témoigne de sa passion pour le vol et de sa capacité à impressionner le monde entier avec ses exploits aériens.
La Grand Medaille est la plus haute distinction décernée par l’Aero-Club de France. Parmi les précédents lauréats figurent des légendes comme les frères Wright, Charles Lindbergh et les célèbres astronautes des missions Apollo 11 et Apollo 13, dont Neil Armstrong, Buzz Aldrin, Michael Collins, Jim Lovell, Jack Swigert et Fred Haise. Même Chuck Yeager, le premier homme à avoir franchi le mur du son, a reçu cet honneur. Cruise rejoint donc un club extrêmement prestigieux.
Les cascades de Tom Cruise dans Mission: Impossible, entre folie et adrénaline
La saga Mission: Impossible est célèbre pour ses missions d’espionnage ultra-tendues, son casting charismatique et ses finales haletantes. Mais son atout principal ? Tom Cruise et ses cascades délirantes. Qu’il s’agisse de grimper le Burj Khalifa dans Protocole Fantôme ou de piloter un hélicoptère dans Fallout, il repousse à chaque fois les limites du possible.
Dans Dead Reckoning Part One, il a franchi un nouveau cap. Après des mois d’entraînement au motocross et au saut en parachute, Cruise a accompli une cascade hallucinante : se jeter d’une falaise en moto avant d’ouvrir son parachute en chute libre. Il a répété l’exploit six fois pour obtenir la prise parfaite.
Mais ce n’est pas fini. Pour Mission: Impossible – The Final Reckoning, il va encore plus loin : s’accrocher à l’aile d’un Boeing Stearman des années 30 à 10 000 pieds d’altitude. Dans une interview accordée à Empire, il a confié :
« À 120-130 mph, il devient presque impossible de respirer. J’ai dû m’entraîner à contrôler ma respiration. Parfois, je m’évanouissais totalement et je ne pouvais plus retourner dans le cockpit. »
Toujours à la recherche de l’impossible, il n’est pas étonnant que l’Aero-Club de France ait choisi de le récompenser. Ce prix célèbre non seulement sa passion pour l’aviation, mais aussi son engagement à redéfinir les standards du cinéma d’action.
Source : MovieWeb